Ca fait quelques jours voir plusieurs semaines je ne compte plus que je prends des clients de toute sorte surtout les plus pauvres, j’en suis dégoutée, j’en ai des au le cœur, je suis bien contente quand je sors avec les filles, ça me fait prendre l’air. Je ne désire plus parler à Brad mes rapports se passe par SMS, j’avais juste mon téléphone pour lui, son bras droit, son père et le mien et encore le mien j’évitais de lui parler il ne voyait rien d’autre que par Brad. Ca plusieurs jour ou je suis mal, je me sens pas très bien, j’ai demandé à le prévenir mais aucune réponse rien, il me laisse seule pourtant je suis au plus mal. Encore ce matin je ne me sens pas bien, j’ai des nausées, un client est présent je me dois de m’occuper de lui avant qu’un autre ne vienne, je suis dégoutée à force cela m’écœure, j’ai envie de retrouver ma chambre qui est fermée à clef, je voudrais le retrouver lui surtout il me manque énormément. Après le client et nue que je me dirige vers notre chambre, je frôle les murs, je ne désire voir et parler à personne, je ne veux juste que lui, j’arrive devant sa porte toujours suivie de son bras droit qui ne me lâche pas, je toque à la porte en espérant qu’il me reçoive enfin. Brad c’est Mermaid, ouvre moi s’il te plaît j’ai quelque chose à te dire c’est urgent. Je ne le dérangerais pas si ce n’était pas urgent mais j’étais mal au plus au point et ce n’était pas normal qu’il ne réagisse pas.
Cela fait plusieurs jours que j’ai puni marya devant toutes les filles. Je la fais suivre par mon second pour m’assurer qu’elle s’occupe des clients et dorme bien dans sa chambre enfin si l’on peut appeler ça une chambre. On ne se parle que par SMS enfin parler c’est des bien grands mots, je lui envoyais quelque SMS pour lui dire qu’elle avait un client un peu différent comparer au client qu’elle à depuis quelque temps. Mais, cela fait plusieurs jours que je ne lui envoie et ne lui parle plus. J’ai bien reçu son message enfin le garde qui m’informe qu’elle n’est pas bien, je me contre fou qu’elle est dégoûte de ses clients et que ça la rend malade de faire ça avec eux.
Je l’entends frapper et parler me dire que c’est urgent. Je soupire me demandant ce qui peut être si important je vais ouvrir la porte en serviette sortant de la douche regardant Marya, avant de dire d’un ton neutre et avec de l’indifférence montrant bien qu’elle me dérange même si je ne fais rien de particulier.
- Qu’est-ce qu’il y a Mermaid, tu as pas des clients qui t’attendent ?Si c’est pour me dire que tes clients tes clients tu peux repartir, ce n’est pas mon problème y fallait y réfléchi avant.
Je suis devant la porte avec une once de fébrilité à revoir mon homme, je tenais plus à lui que je ne pouvais l ‘imaginer, j’espérais qu’il me laisse rentrer dans notre chambre enfin plutôt la sienne pour le moment, serait il sans cœur ou voudrait il me le faire croire ? Je n’attendais dans le froid qu’il me dise de rentrer mais au lieu de ça c’est à la porte que nous discutions. Quand je le vois, je ne peux m’empêcher d’aller dans ses bras, j’étais froide, sa chaleur m’a manqué, son odeur, son aura, la que je me rends compte que je serais heureuse avec lui-même si mon amant est toujours présent mais là n’était pas la question, je le perçu comme sec presque froid à me recevoir, je ferme la porte derrière moi je voulais être en privée. Non pas pour le moment sinon je ne serais pas venu te voir et ce n’est pas pour parler de mes clients, de ma vie ou de ma punition, je t’assure…je te demande pardon, de m’excuser, Brad je tiens plus à toi que je ne l’aurais pensé, je t’assure. A peine le temps de finir ma phrase que je le lâche, pour aller vomir, j’en profite pour me rafraichir, je ne vais pas bien et je ne sais pas ce que j’ai… Brad comme tu peux le voir, je ne suis pas bien, je suis malade et cela fait quelques jours mais ça empire chaque jours qui passent, je t’assure pas de la comédie et j’ai fais attention à tout, je me sens faible, fragile, fébrile, j’ai même perdu du poids à force d’aller au toilette. Écoute-moi s’il te plaît, je ne plaisante pas, tu es comme tu es, tu m’as certes punie mais je sais que tu as un cœur au fond. Je le regardais avec pitié, avec tendresse, qu’il m’écoute ou fasse quelque chose, je ne comprends pas ce qu’il m’arrive, s’il me dit qu’il s’en fou, je serais encore plus mal et il risque de me perdre à jamais mais je ne pense pas, je me sens en danger si non je ne l’aurais pas dérangé, je joue avec mes mains par angoisse, je n’ose plus le regarder m’asseyant dans un fauteuil.
Je regarde mermaid et lui demande ce qu’elle veut et que si c’est pour se plaindre des clients, elle peut déjà repartir que je ne changerais pas d’avis. Je n’ai pas le temps de réagir qu’elle se colle a moi, elle est glacée et va falloir que je prenne une autre douche. Elle couche enfin elle couche, elle est obligée de vidé les clients qu’aucune des filles ne veut et y a une raison à ça. Celle-ci referme la porte pour qu’on soit que tous les deux et de me dire qu’elle s’excuse qu’elle tient à moi plus qu’elle ne l’aurait pensé et me demande pardon, avant de me relâcher et de partir en courant dans mes toilettes pour vomir, avant de revenir et de me dire qu’elle est malade et qu’elle a perdue du poids et que c’est de pire en pire chaque jour. Qu’elle est de plus en plus faible. Je soupire et la regarde super elle a chopé une putain de maladie avec un de ses clients . Je la vois s’asseoir avant de dire en soupirant.
- Super, tu as chopé une putain de maladie avec un de tes clients et je t’assure que tu me l’as refilé avec ton étreinte de tous à l’heure ça va mal aller pour toi !! Tu bouges pas et tu me ferras pensé à brûlé ce fauteuil, j’ai pas envie de prendre de risque. J’appelle le médecin, tu bouges pas, je vais prendre une douche pour limiter la contamination.
J’appelle le médecin qu’on fait venir quand une des filles et malades pour savoir si c’est grave et si elle peu continuait à bosser ou si elle a besoin de repos et de soin. Je raccroche et vais sous la douche et met ma serviette à la poubelle, j’ai aucune envie de choper cette maladie transmise par un des nombreux clients de Marya. Je sors de la douche près d’un quart heure après et me sert un verre de whisky attendant l’arrivé du médecin.
Je suis contente de le voir même si je vais mal, je compte sur lui pour une fois de faire quelque chose, il est froid et moi aussi je frissonne, j’ai peur, je ne suis pas bien, je me sens fatiguée, rien ne va depuis notre dispute même mon moral prend un coup. Dans ses bras je me sens bien, il ne me rejette pas mais pas le temps de s’attarder que je suis encore malade, je lui fais comprendre que je suis très mal que ce n’est pas une blague mais il reste froid en mon égard pourtant je ne rigole pas et me prends comme une pestiféré. Je ne suis pas comme les autres filles, j’ai fais attention je t’assure, ne me traite pas comme une pestiféré je te pris, tu n’as pas honte ? Puis merde je n’ai pas le courage de me battre avec toi, je suis fatiguée, je ne suis juste pas bien peut être rien mais ne me traite pas comme tu le fais tu exagères, merci pour le médecin. Je l’entends appeler le médecin, un soulagement pour moi mais le même médecin que les filles généralement nous avons le notre, je n’y crois pas mais au moins il agit, je fais un signe de oui de la tête je ne bougerais pas, j’ai froid recroqueviller sur le fauteuil, j’aperçois mes affaires comme j’ai envie de les remettre mais non, je ne dois pas. Je le regarde revenir de la douche, il fait à peine attention à moi qui ne suis pas bien. On toque à la porte certainement le médecin, il rentre, je lui explique que je vomis que je ne suis pas bien, une grande fatigue perte de poids, je suis mal au point, il m’ausculte, je regarde Brad désespérer, je ne comprends pas ce qui m’arrive. Je ne peux me méfier de quoique ce soit car je ne suis pas régler non plus si non j’aurais tout de suite pensé à une grossesse mais je ne pense pas. Le médecin à fini, il tourne voir Brad, je les vois discuter mais je ne sais ce qu’ils se disent j’espère rien de grave, toujours un regard triste toujours aussi froid, je mets à sangloter sans vraiment comprendre pourquoi, je suis chamboulée par cette cochonnerie, je veux juste retrouver ma chambre en attendant, je ne demande rien de plus…si d’être avec mon homme.
Marya me demande de ne pas la traiter comme une pestiférée, qu’elle prend toutes les précautions qu’elle n’est pas comme les autres filles. J’appelle le médecin quand même on ne sait jamais, pas le mien, mais celui-ci qu’on paie lorsqu’une des filles tombes malade. Je vais prendre une douche est je ne fais pas attention à Marya plus que ça, je m’habille quand on frappe à la porte. Je vais ouvrir c’est le médecin, marya lui explique ses symptômes et le médecin l’examine et fais quelque teste avant de venir me voir. Nous discutons une bonne dizaine de minutes à l’écart. Je remercie le médecin qui part m’ayant donnée des conseils pour Mermaid. Je retourne la voir avant de dire me mettant en face d’elle le visage grave et disant d’une voix neutre comme étant à moitié là et à moitié dans ses pensées.
- Le médecin et formel tu es enceinte, mais pour plus d’information, faut faire un test de grossesse et une prise de sang pour savoir de combien de temps exactement!
Je me lève pour aller prendre ses vêtements qui traîne et lui lance sans un mot ou un regard. Il y a autant de chance que ce soit le mien comme celui de son amant et cela m’énerve encore plus, a choisir, j’aurais préféré qu’elle choppe une maladie et retourne bossée. Mais, le médecin est assez clair interdiction formelle de bosser pour Marya tant qu’elle est enceinte au risque de mettre sa vie et celle du bébé en jeu. Sans compter qu’il faut un endroit sain.
- Tant que tu es enceinte considère que ta punition est levée du moins temporairement ! Ordre du médecin, y te faut du repos et un endroit sain et approprier le temps de ta grossesse et que tu évites les efforts physiques.
Je dis ce que je pense mais je ne voulais pas une dispute, je n’étais pas bien vraiment pour tenir tête à Brad, je le laisse faire, il ne me prête pas attention, je suis encore plus triste que je ne le suis déjà, le médecin arrive, il me consulte mais je n’en sais pas plus, l’air de Brad s’assombri je crains le pire, je sers les poings les dents quand je le voix venir vers moi, encore plus sombre que d’habitude ai-je fais encore une connerie, il me fait peur je me recule de peur qu’il m’arrive quelque chose. Et le couperet tombe, je me sens encore plus mal me mettant en boule sur le fauteuil. Tu en es sur ? Je n’y crois pas cela ne peux être possible…Je ne suis pas réglé Brad tu le sais, je dois véritablement faire ses tests, j’ai peur tu sais, j’ai besoin de toi, je regrette tout, je n’aurais pas du traverser la route, je te promets de ne pas recommencer, je t’en pris ne me laisse pas seule face à ça. Enceinte moi ? Qui aurait pu l’imaginer ? Personne, je n’espère pas de mon amant car je sais que la je ne pourrais revenir dans les bras de Brad c’était mort pour moi, je pleure encore plus, je n’arrive plus à m’arrêter la pire situation qui pouvait arriver. Je me prends en pleine poire mes vêtements, je ne comprends pas tout, je m’habille simplement par ce que j’ai froid mais pas de vêtement que je veux mais mon futur époux, ne comprend il pas que je tiens à lui que je le désire, il ne me pardonne pas, j’ai mal au fond de moi. Merci de ta gentillesse, tu veux que j’aille ou ? Car ici ce n’ai pas le top, enfin ta chambre est bien la mienne aussi, il ne faut pas non plus que cela se sache même si dans le fond elles sont toutes au courant ; je ne sais que faire, j’ai peur, très peur. Même si je suis habillée je tremble encore plus, je ne crois pas en cette histoire de grossesse pas pour le moment, il fallait faire un test au plus vite pour être sur mais je suis encore moins bien qu’au début de ma visite.
Marya ne me crois pas et me demande si je suis sûre de ce que j’avance. Elle se met encore plus en boule avant de me dire qu’elle regrette qu’elle aurait pas dû aller voir ailleurs et qu’elle a peur qu’elle ne veut pas traverser ça toute seule. Me suppliant de rester avec elle. Je prends ses vêtements et lui lance vêtement qu’elle enfile rapidement avant de reprendre la parole pour me demander dans qu’elle chambre elle va vivre qu’elle a pas d’affaire dans ma chambre et que les filles ne doivent pas savoir même si elle s’en doute déjà et qu’elle a peur très peur. Je la regarde en disant sur le même ton que tout à l’heure.
- Je te rassure, tu ne vas pas dormir dans la mienne, tu iras dans la tienne le temps qu’on sache à qui appartienne cette enfant !! Mais, il est hors de question que tu viennes dans la mienne et puis quoi encore, tu veux pas non plus que je m’occupe de toi ! S’il s’avère que c’est celui de ton amant tu retourneras dans une des chambres M est si c’est le mien on verra à ce moment si tu gardes ta chambre L ou si on te privatise une chambre P
Je compte bien faire un test au plus vite pour savoir si c’est mon enfant ou non. Je la vois tremblais et ça ne me plaît pas particulièrement d’être dur et froid avec elle, mais dès que je la regarde, je revois ses images de cette tromperie et c’est plus fort que moi, je n’arrive pas à avaler l’os de poulet coincée dans ma gorge et n’arrive pas à lui pardonnée cet écart et encore moins qu’elle porte peut-être le symbole de son infidélité !
PS: Chambre M = Chambre Moisie/Merdique ; Chambre L = Luxueuse ; Chambre P = Privilège (VIP)
Je ne le crois pas enfin si je devrais Brad ne m’a jamais menti, du moins ce que je crois, je ne suis sur de rien, je regrette tout et lui fait savoir, je veux le retrouver, je veux qu’il soit à moi et à personne d’autre, je regrette vraiment tout ce que j’ai fais ou pu faire, Brad est dur avec moi et le pire je le comprends. Prenant dans la tronche mes vêtements, je les enfile et me recroqueville de nouveau sur le fauteuil. Je te remercie déjà ça, par ce que tu doute de l’appartenance de cet enfant ? Je désire retrouver notre lit conjugal, je désire être à toi, je veux être à toi, Brad s’il te plaît. Tu dois t’occuper de moi la moindre des choses pour ta future femme, tu ne penses pas ? S’il advient que cet enfant est de mon amant je me fait avorter, je ne le garderais pas. J’espère que c’est le tien et j’en suis sur, prends les mesures que tu désires je m’y plierais. Je suis de plus en plus en pleure, je n’arrive pas à me calmer me mettant en boule dans le fauteuil, tant qu’il ne me vire pas je resterais dans sa chambre, j’espère qu’il sera son enfant, j’en doute moi-même de toute façon, je ne sais plus quoi faire pour regagner Brad, je ne me fais que trembler et pleurer mais il a raison dans le fond, je ne serait jamais sienne si c’est l’enfant de mon amant, je suis finie, je le sais et ça me fait mal, ce qui rends encore plus triste. Que comtes tu faire ? Je ne désire pas rester enfermer dans ma chambre sans voir personne même s’il me faut du repos. Dis je doucement entre deux sanglots, je voudrais une maison pour notre enfant de quoi vivre et pas ici dans cette maison glauque.
Celle-ci m’informe que si ce n’est pas mon enfant elle va faire le nécessaire à ce niveau-là. Oh, mais je ne lui laisse pas le choix dans tous les cas. Et j’ai déjà une idée de ce qui va lui arrivé si l’enfant dans son ventre n’est pas le mien et je doute que ça plaise à Mermaid, mais je m’en contre fou et lui dit ce que j’ai prévu si tel et le cas.
- Si cette enfant celui de ton amant, c’est très simple. Si c’est un garçon tu avortes et une des Chambres M te sera officiellement attitré que ce soit une fille aussi d’ailleurs. La seule différence c’est que si c’est une fille, tu la garderas une fois assez grande pour être rentable pour le club elle commencera à bosser !!
Je laisse ma colère exploser, on avait un accord tous les deux et je peux pas la pardonnée parce que je crois qu’au fond de moi, je l’aime. Même si on s’en aime pas et que ce n’est pas un mariage d’amour, de ne pas coucher avec d’autre, pas dans le dos de l’autre. J’ai tenu ma promesse, j’ai couché avec aucune des filles présente, je n’ai jamais trahi sa confiance comme elle là fait. Elle me fait par de ses envies qu’elle veut retrouver dans notre lit et revenir au près de moi, m’appartenir et ne crois pas que je puisse douter que cette enfant puisse être de moi. Et que je dois m’occuper d’elle que c’est la moindre des choses. Je la regarde et me mets à rire. La moindre des choses, elle rigole c’est une blague j’espère.
- La moindre de chose, sérieusement ! C’est une blague marya ? La moindre des choses, c’est de ne pas jouer à la pute parce qu’on a des envies et qu’on veut voir si l’herbe et plus verte ailleurs !! La moindre des choses, c’est d’utiliser une putain de capote et de ne pas tomber enceinte de son amant !! La moindre des choses, c’est de ne pas tromper son futur Mari !
Marya me demande ce que je compte faire. qu’elle ne désire pas rester enfermer dans cette maison sans voir personne, mais ne veut pas que les filles sachent qu’elle est enceinte. Je la regarde en disant en colère envers elle.
- Je ne compte absolument rien faire Mermaid. Tu m’as menti, tu m’as trahi, tu as rompu ta promesse, tu m’as humilié devant tous le monde et tu as potentiellement fait un enfant avec ton amant et tu veux que je fasse quelque chose!! Tu t’es mise dans cette situation toute seule, tu te débrouilles. Tu me dégoûtes, je n’ai plus aucune confiance, ni respect pour toi.
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Sujet: Un malheurs ou du bonheur ?. Pv Brad O'Callahan(terminé) 
Jeu 24 Oct - 23:37
