Une négociation pv Brad

Je ne savais plus quoi faire sauf accepter le contrat, je voulais sauver mon père de la, je n’avais pas le choix, je ne lui voulais que du bien mais surtout qu’il ne finisse pas dans les poubelles ou je ne sais ou et qu’il retourne voir notre mère. La somme me fait tourner la tête que je reprend un verre, je garde le sourire bien que difficilement, je ne suis pas en position de négocier, mais je tente tout de même, je ne voulais plus voir mon père ici, je le regarde avec son sourire à presque me tuer.
Je vous en remercie, je comprends mais je ne pourrais jamais payer une telle somme et je ne désire pas avoir de soucis avec vous.
Je prends le contrat comme-si il m’était déjà destiné, je le lis mais je ne comprends pas tout, mais cela m’a l’air d’être correcte du moins je le pense, je le regarde il m’a l’air honnête en tout cas, mais je veux ne plus voir cette somme et ne plus voir mon père ici, je n’ai pas le choix.
Je fouille dans mon sac et sort un stylo, je signe le contrat, j’espère ne pas faire un erreur mais je n’ai pas le choix, j’espère que ma sœur ne m’en voudra pas mais au moins la paix sera faite entre nous.
C’est signé je pense que nous sommes quitte Monsieur O’Callahan.
En lui rendant son contrat.

Celle-ci lit le contrat ce qui est plutôt rare, la plupart des gens signes sans même savoir ce qu’il signe. Je souris et la laisse lire et encore plus quand je la vois sortir un stylo pour signer. Si seulement, il lisait les petites lignes, il ne le fond jamais. Mais ce n’est pas mon souci après tous. Je la regarde et je rigole ne pouvant m’en empêche lorsqu’elle me dit qu’on est quittes maintenant. Je prends le papier et le fais disparaît entre les flammes et la regarde gardant mon sourire en disant amusée.

- On est loin d’être quitte, ton père est libre et il ne remettra plus les pieds ici, mais toi, c’est différent. Puisque tu viens de me vendre ton âme ma belle et qu’à partir tu m’appartiens corps et âme, il faut toujours lire les petites lignes voyons.

Je la regarde gardant mon sourire et observe sa réaction. Je suis prêt à réagir et à la retenir, s’il le faut mais, j’espère qu’elle n’essayera pas de s’enfuir, mais sait on jamais. Je pose mon verre vide tous en gardant mon sourire.

Je lis bien le contrat et je comprends que c’est une sorte de dette et pouvoir rembourser doucement, ce qui me convient très bien, je le regarde sourire, je me dis il y a un piège mais non pas possible il est honnête enfin je l’espère, je suis là que pour trouver des solutions entre nous.
Je finis par signer le contrat, et lui dépose, il disparait comme par magie, je me frotte les yeux, je n’y crois pas, il est partie en fumer que cela veut il bien dire ? De toute façon nous sommes quittes, j’allais partir avant qu’il ne me réponde.
Merci pour mon père, non il n’était pas écrit cela puis vendre mon âme non, elle n’est pas à vendre, je n’appartiens à personne et certainement pas de vous.
Je m’apprête à prendre la porte quand deux gorilles m’en empêche d’accord…
Bon finis cette blague, laissez moi partir suis-je clair, je vous rembourserais doucement comme indiqué dans le contrat soyez en sur.
J’attendais à ce qu’ils me laissent le passage.

[color=violet]- Ah vraiment qui t’a dit que ce n’était pas marqué, pourtant c’est marqué dessus, noire sur blanc, je te l’ai dit, il fallait lire les petites lignes et brisé un contrat à de fâcheuse conséquence, comme là mort, mais tous est écrit dans ton contrat. Tu m’as vendu ton âme et ton corps et j’en dispose comme bon me semble. Bien entendu, il y a un délai de rétraction, mais je te le répète, mon offre n’est valable qu’une seule et unique fois et si tu souhaites annuler le contrat ton père reste ici.[/colot]

Je fais apparaître le contrat et fait un signe de main pour que les gardent s’écarte et qu’elle puisse sortir comme elle veut mais si elle fait apparaître une bougie, si elle passe la porte je brûle le contrat, mais elle peut dire adieu à son père et bonjour à la liberté, sinon c’est son père qui part et c’est elle qui devient mienne corps et âme. À elle de faire son choix, je souris et lui dis d’un air presque qu’amusé.

[color=violet]- Alors Mademoiselle Carter que fait-on ? Sans réponse de votre part, je partirais sur votre dernière impression et annule le contrat[/colot]

Je souris et approche le contrat des flammes pour voir sa réaction, est-ce qu’elle va m’en empêcher ou alors sa liberté et bien plus importe que tous cela.

Je ne l’ai pas vue pourtant j’ai tous lue, qu’il y a-t-il comme arnaque la dessous ? Je ne comprends pas tout et qu’est ce cette magie de faire apparaître et disparaitre les choses ? Je désire juste que l’on soit quitte sans rien se devoir de plus. Vous ne disposez rien de moi, est ce clair ? Je ne le veux pas et ne le désire pas.
Le contrat réapparaît sous mes yeux, je crois avoir des hallucinations, les gros bras s’écartent pour me laisser le passage, j’étais prête à passer la marche, mon pied dehors, je lui tourne le dos et je soupire profondément, et merde j’ai pas le choix, il faut que je libère mon père de là mais c’est moi qui suis piéger, dois je faire ce sacrifice ? Et lui appartenir soit disant comme il le dit.
Je souffle, je fais demi-tour, je le regard, je prends le contrat des mains et le relis, bizarrement, il n’y avait pas ces petites lignes, je les relis et en effet je lui appartiens…je soupire de nouveau, je le regarde et lui remet le contrat, j’ai signé et je ne reviendrai pas sur ma parole.
Bon et maintenant à quoi tout cela rime et c’est quoi ces tours de passe passe ? Je veux tout savoir.
Dis je d’un ton un peu insolent, presque un ordre, que plus rien ne me soit cacher maintenant.

Celle me demande comment je fais pour faire disparaître le contrat me disant qu’elle a lu tous le contrat et ne l’a pas vu. Qu’elle veut juste qu’on soit quiet et ne plus rien me devoir. Ajoutant que je n’aurais rien d’elle et qu’elle ne veut rien. Je lui laisse de partir et abandonnée son père, ou resté et le sauvé. Celle-ci vient me prendre le contrat des mains avant de le relire avant de me le rentrer. Je la regarde et l’écoute me dire de lui expliquer comment je fais avec le contrat et qu’elle veut tous savoir de manière plutôt insolente, mais je doute qu’elle garde la même attitude une fois que je lui aurais révélé, ce qu’elle veut savoir.

- Tu me déçois Kaithlyn, je te pensais plus intelligente que ça. Tu viens de vendre ton âme et tu n’as toujours pas compris. Je vais être plus claire. Je suis le roi des démons et tu viens de me vendre ton âme. Bienvenue au Rhyolite le royaume des démons

Je suis surprise, je reprends et relis le contrat, il n’y avait pas tout cela d’écrit dessus j’en suis certaine, je ne comprenais pas tout ce qui se passait, j’étais perdue, je n’en reviens pas de ce qu’il me dit, d’avoir vendue mon âme à un démon, je secouais la tête, je ne comprenais pas du tout, ça existe ? je rigole et n’y crois pas un mot, il bluffait, ce n’était juste pas possible.
Comment ça ? Vous bluffez cela n’existe pas, c’est impossible. Prouvez le moi.
Je ne croyais que ce que je voyais et je voulais voir, je n’étais pas stupide, les démons et j’en passe n’existe pas mais cela expliquerais ce que j’ai vue il n’y a pas longtemps, était ce vraiment un vampire ? Je commençais à me poser des questions très sérieusement et voyant son regard il n’avait pas l’air de rire.
Vous ne rigolez pas n’est ce pas ?
Je me sentais toute petite et je ne savais plus quoi faire, ni ce qu’il attendait de moi du coup, je pensais que nous étions quitte après cela et que je pouvais le rembourser doucement mais surement.

Kaithlyn me regarde me disant que les démons n’existent pas qu’elle veut une preuve . Je la regarde sérieusement et celle-ci semble comprendre que je ne rigole pas. Je claque des doigts et un des gardiens s’approche et change reprend une apparence démoniaque des poils sur le corps et de longue griffe, des dents tranchantes et une queue de loup sans oublié ses yeux jaune vif.

- Je suis plus sérieux et je l’étais également quand, je disais que j’étais le roi des enfers. Mon père a réussi à mettre hors état de nuire Samaël (le vrai nom de Lucifer/Satan). Et Oui ton âme m’appartient maintenant, corps et âme si l’on peut dire. Mais je suis quelqu’un de parole et ton père et libre et il ne remettra pas les pieds dans notre établissement, mais toi ses différents.

Je souris, la regardant elle ignore dans quoi elle a mit les pieds et cela m’arrange, je commande de verre et lui en donne un en disant de manière très calme en faisant signe au deux gardes de nous laisser seuls disant avec un sourire qui en dis long.

- A notre contrat Kaith. Mais ne t’inquiète pas, tu n’auras pas à servir les clients, ni à faire ce que font les filles. Non, j’aurais d’autre projet pour toi, y faut que j’y réfléchisse encore un peu, mais je te garde pour moi.

Je n’y croyais pas et voulait une preuve, c’est alors qu’un gardians s’approche de moi et se transforme c’est d’effroi que je pousse un cri, j’étais dans un cauchemar, ce n’était pas possible et pourtant, je ne pensais même pas à fuir si cela était réel je serais trop vite rattrapée voir en mourir, je soupire, je me calme un peu avant de l’écouter.
Oui je vois vous êtes très sérieux…j’ai signé une chose que je n’aurais pas du, je comprends tout maintenant à ce que vous me disiez, et je sais que je ne peux faire marche arrière, je suis désabusée par la situation, je ne sais quoi faire à vrai dire, j’ai envie de fuir de ce cauchemar mais je suppose que je ne peux pas…pas comme ça en tout cas.
Je respire longuement presque à perdre haleine, je suis résignée, je suis prise par mon propre piège je dirais, je ne pensais pas à cela, je suis tremblante comme jamais, prenant le verre qu’il m’offre, je le bois cul sec, je ne suis pas à l’aise du tout, le regardant sans le regarder, faisant aussi le tour de la pièce regardant ceux qui nous entouraient je me posais milles questions.
Quelles autres projets ? Je ne suis guère à l’aise et je ne me sens pas très bien d’un coup, dois je dire que c’est un honneur que vous me gardiez pour vous ? Je ne sais pas…Je suis désorientée.
J’allais tourner de l’œil moi qui me pensais forte je ne pensais pas à cela, ni ce monde imaginaire qui je suppose je ne devais rien dire à personne de toute façon on ne me croirait pas.

- Un cauchemar voyons ne soit pas aussi défaitiste, cette vie peut te plaire, j’en suis certain. Et pour répondre à ta question, disons que tu aurais pu tomber plus mal et servir les clients qui rentre chaque jour dans l’établissement du matin au soir. Donc, oui d’un certain côté ‘est un honneur que je te garde uniquement pour moi. Et je te l’ai dit y faut que j’y réfléchisse encore mais, je vais trouver ne t’inquiète pas.

Je la regarde tous en réfléchissant à ce que je pouvais bien faire d’elle. Pour l’instant j’ai pas vraiment d’idée, je n’avais pas vraiment prévu de conclure de pacte avec elle, mais maintenant que c’est fait, je compte bien en profité.