Je décide de le suivre malgré tout j’ai confiance, je le suis a travers à un couloir, il y aune forges je me demande bien si…. avant d’arriver dans une pièce avec un homme là, je reconnais bien cet homme un prêtre, c’est un blague ?Je fais un signe de la tête que non, j’ai pas envie de sourire, ni de rire bien que je pense vraiment à une blague mais au contraire mon visage s’assombrit. Argos tu m’as promis d’avoir du temps, je ne suis pas prête à me marier ni avec l’un, ni avec l’autre, je peux être capable de beaucoup de choses pour vous mon Maître mais pas cela pas pour le moment, a moins que cela soit une mauvaise blague ce qui est de mauvais gout. Je ne veux pas faire honte, ni que je ne l’aime pas juste que je ne suis pas prête il me faut plus de temps, déjà digéré l’histoire de ma grossesse, je règlerais l’histoire du mariage après mais ce n’était pas le moment pour ça. Argos, je ne désire pas faire pas de te faire honte simplement pas le moment, je t’assure. Dis je tristement, je reste là planter devant l’autel ne pouvant ni dire oui, ni dire non.
-Je m'en doutais...que des paroles...incapable et misérable...pour séduire et parler il y a du monde pour ce faire baiser tu serts a quelques chose...mais au final tu es aussi décevante que les autres .
*il vient regarder alors la jeune femme avec une grande déception dans son regard et il semblerai...une pointe de tristesse...et alors que la jeune femme était figer la indécise le diable pris une décision deux hommes viennes la saisir violement la mettant à genoux...elle pus voir son amant sortir de sa veste une arme...un silencieux le relever...deux tires suivit rapidement...mais la jeune femme n'était pas morte...non elle était en vie regardant tomber devant elle le corp de son garde du corp et du prêtre une balle ayant traversé leurs tete ...*
- tu vas payer pour ton erreur maintenant...heureusement que j'avais prévue cela...
*dit il montrant la forge à droite de l'hôtel...avant de claquer des doigts...ce qui suivit fut sûrement très flou dans l'esprit de la jeune femme car elle était partager entre la tristesse...la douleur et l'incompréhension...comme un simple objet elle fût marquer au fer rouge...dans son dos était maintenant imprégné le signe de propriété de Argos...et a son cou...fut fixer un collier d'or magnifique ayant la forme d'une magnifique serpent au yeux rouge rubis qui entourait son cou étant fixer à celui ci pars la forge et ne pouvant clairement pas etres enlever sans un bon forgeron...Argos fixant alors sa belle *
Toute tas vie tu porteras la marque de la honte que tu m'as fait subir...quand au collier il te garanti ma protection et le passé droit de pouvoir élever tas fille et de m'avoir comme amant...fait le retirer et tu me perd...la décision est prise. J'ai parler.
*dit il en soupirant fatiguer venant la regarder...il semblait triste ...fatiguez et ravager d'avoir du faire sa...ce laissant tomber sur un fauteuil alors que ces hommes relâchait la jeune femme...elle pouvait partir la porte était grande ouverte...ou rejoindre son maître et continuer cette journée de malheur c'était à elle de décider *
Il ne faut pas dire cela, je ne suis juste pas prête tu m’as dit de laisser du temps je n’ai qu’une parole et je désire t’appartenir mais pas pour un mariage, pas le moment, je t’en pris. Je prends les menaces pour exécutoire, je ne sais pas ce qui va arriver mais je n’aime pas la tournure, je suis saisie et mise à genoux, je ferme les yeux, il va me tuer, non pas possible et pourtant, j’entends deux tirs, je sursaute, ouvrant les yeux en larme, les deux hommes sont à terre pourquoi mais pourquoi ? Tu n’as pas de cœur pourquoi à tu fais cela ? Ils n’y sont pour rien. Ne fais pas ça, tu m’aurais demandé j’aurais dit oui, mais ne le fais pas tu m’entends. Dans un cri de douleur c’est trop tard, je suis marquée comme un animal avec un collier que vais-je dire à mon mari ? Il va avoir la famille sur le dos c’est sur à moi de faire attention, je ne sais quoi faire maintenant, en pleure, je le regarde de colère, il m’aurait simplement demandé que de me demander en mariage, j’aurais dit oui là c’est contre mon gré. Je ne le voulais pas triste et malgré ma colère, je décide de la rejoindre une fois lâché, de me mettre à genoux à ces pieds, le regardant fixement encore tremblante de ce qui venait de se passer. Maître ce n’ai pas une honte, bien au contraire, je porterais cette marque et ce collier avec fierté, c’est un signe d’engagement pas une honte, vous me l’auriez demandé j’aurais dit oui mais le mariage je ne suis simplement pas prête, pardonnez moi tout ce que je demande et me permettre de rester près de vous. Dis je avec tristesse, baissant la tête, lui embrassant une nouvelle fois la main, comme un honneur de porter sa marque et son collier, c’est tout autre chose pour moi, un attachement, un animal appartenant à son Maître tant qu’au prêtre et au garde du corps je m’en fou royalement qu’ils soient mort.
-Mon esclave...tu es intrigante...je dois l'avouer..tu es incapable de choisir ce que tu veux tu vas subir milles tortures avec une gel marque parcourant ton corp dans cette maison close et pourtant tu me désir et me veux...je trouve cela magnifique même si je ne te comprend pas...cependant la prochaine fois si tu veux m'épouser tu devras en faire la demande toi-même en publique même si cela n'arrivera sûrement jamais ...je suis aussi condamné que toi de voir ce qui m'appartient dans les bras d'un autre cela en est presque cruelle tu ne trouve pas ?
*il vient partager ces pensées alors que il glissait sa main sur la joue de la jeune femme comme un maître avec son animal de compagnie venant la faire légèrement tournée pour glisser ces doigt autour de la cicatrice fraîchement brûlée pars le fer...le fer fondu ayant imprimer la peau ressortant en reliefs même si le métal sortait directement de sa peau *
Ce signe est magnifique sur toi...te prendre en le regardant sera j'en suis sûr un vrai plaisir pour les yeux après tous depuis que j'ai construit mon organisation mon pouvoir autour de l'argent tu es la seule qui aujourd'hui porte ma marque...même si je ne te comprend pas vraiment...moi qui n'est que ton maître et ton amant cruelle...que me vaux ce désir d'etres à moi ?
*dit il simplement venant saisir la jeune femme la faisant ce relever ...la mettant debout avant de lui retirer d'un mouvement ce qui lui reste de ces vêtements dechirer apres que ont mes marqué au fer rouge...regardant simplement on corp nue devant lui une lueur sauvage de desir et d'envie...une gourmandise sans limite dans son regard *
Jb]e l’ai dis, je ne suis pas comme les autres, il faut me dompter, me prouver aussi, je trouve cela injuste que cela soit fait contre mon gré, je vous trouve injuste et à la fois porter une marque et un collier est un signe de fierté chez une esclave, elle appartient, elle n’est pas seule et ne se sentira jamais seule. Je sais que c’est cruelle ma vie est cruelle, tout ai cruelle, c’est comme ça, je ne trouve pas de raison à vous donner comme réponse. [/b] Je suis triste et à la fois heureuse ma colère c’étant retiré, je ne lui en veut pas au contraire mais comment le lui dire autrement c’est un sentiment que j’ai, je ne trouve pas de mot pour le lui dire, je ne trouve pas de réponse non plus. Cela ne me plaît guère d’être au côté de Brad mais c’est ma vie et personne ne peut me le voler. Peut être beau au regard mais je ne serais que dire à mon mari maintenant, vous allez les avoir sur le dos, j’espère que vous vous rendez compte, je ne pourrais rien faire, je serais impuissante. Si je suis la seule, je suis honoré de cela je vous assure Maître, vous me rejetez pas donc vous m’acceptez encore ce dont j’en suis heureuse. Je me relève avec son aide, me retrouvant nue devant lui, j’ai froid, je me cache à moitié d’ailleurs, son regard me fais froid dans le dos, je nem ‘entendais vraiment pas à cela. Je vous l’ai dis je désire être votre, je ne l’explique c’est un ressenti, je ne trouve pas les mots, j’en suis navrée. Dis je tremblante. Pourquoi me regardez-vous ainsi ? Qu’ai-je fais ? Demandais je timidement presque à voix basse.
La ou ton brad dirige un bordel ...une famille dans une petite ville misérable moi je dirige ce monde on ne vie pas dans la même catégorie ma petite et il ne pourrait jamais rien faire contre moi et cela même s'il le désirait un jour...j'ai une règle strict je n'est aucun pouvoir sur le commerce des autres...en d'autres therme je ne me mêle pas de sa ville ni de son commerce en échange il accepte simplement ce que je desir et ne dit rien...car il sais que il est impuissant ...que ce petite chien continue a diriger sa ville s'attaquer à moi serai du sucide même pour lui et je ne le pense pas idiot a ce point.
Je l’espère, je ne pense pas qu’ils ont la même priorité d’autant plus que je lui appartient aussi donc vous touchez sa propriété, nous verrons bien pour le moment la n’est pas la question, juste que je ne sais pas quoi lui dire, ni quoi lui avouer à moins de dire la vérité, vous m’avez coincée bien que j’en suis fière. Il me prend dans ces bras, je me sens tel un animal, je lui laisse vaguer sur mon corps, je lui appartient désormais, je ne peux même plus refuser, je suis coincée, prise et éprise d’un homme que j’ai connu comme cela, mon cœur à aussi parlé, je ne l’explique pas, je l’aime plus que Brad j’ai le cœur brisé en deux et pourtant il faudra un jour faire un choix tout dépendra de ma vie tout laissé ou tout prendre là est mon choix en définitif. Oui j’ai froid, enfin j’ai froid, je tremble, je suis encore sous le choix de ce qui vient de se passer, je ne m’attendais pas à cela, je ne sais comment prendre tout cela, je suis perdue avec moi-même. Je suis en laisse, proche de lui, je vais capter ces lèvres, je me colle à lui posant ma tête sur son épaule, mes larmes coule de bonheur, de peur, de colère, tout mes sentiments y passent, je suis triste et à la fois heureuse, je ne sais comment contrôler tout ce qui me submerge. Votre chienne oui.
Il vient alors doucement sourire venant alors lever les bras sur elle...il fit une chose dont personne ne pouvait attendre de ce monde il vient enlacer la jeune femme sans une chaude couverture la collant alors a lui en emitoufflant celle ci comme pour completement la protéger...la gardant simplement contre lui en la laissant pleurer tous ce que elle voulait répondant a ces baiser quand celle ci en demandais ne bougeant pas serrant ce petit corp doux contre le sien résistant clairement à son naturel ont peu dire...tel était le serpent sa manière c'est acté n'était clairement pas si aisé à comprendre...dans un monde fait de noir et de blanc lui semblait etres teinté de gris...ayant la plus grande des bonté mélanger a la pire des cruauté ...il ne dit rien laissant la jeune femme faire un trie dans sa vie en caressant juste ces cheveux en la regardant *
-La véritée...n'est ce pas cela le plus merveilleux après de moi ? Seule celle ci compte...il n'y a pas d'endroit ou ce cacher...pas de secret a dissimulé...tu es a moi maintenant...tu peu donc etres toi-même...sans limite sans risque...sans peur...ma petite soumise aimant la douleur..lache toi...car ton cœur est déjà a moi.
Je me laisse aller emmitoufler dans la couverture, il n’y a aucune honte à pleurer alors que d’habitude je n’en fais rien, comme il me dit il n’y a pas de peur à avoir, pas de honte, rien, juste être moi pour une fois sans me cacher derrière des baratins. Comment sait il que mon cœur est déjà à lui ? Pauvre princesse perdue, je ne sais même pas moi-même qui je suis, ce que je fais, je suis perdue avec moi-même je dois faire le tri et là rien ai facile à faire encore une fois. Que va dire mon mari, que vais-je lui dire la vérité pas le choix mais il va me dire comment cela se fait que j’ai voulu aller le voir il le fallait bien non ? Quelle histoire…. Toute la véritée, rien que la véritée, pas de mensonge entre nous, c’est promis, je vous dois beaucoup et certainement la vie, j’ai eu peur il faut dire, juste une question de confiance, c’était un test et je l’ai raté, j’espère ne pas recommencer, je dois apprendre à faire confiance chose que je n’ai pas encore, j’ai trop été trahis par ma famille. Je suis à vous mais comment savez vous pour mon cœur ? Il est brisé en deux ? Toujours dans son cou, sentir sa chaleur, tout ce que je voulais du réconfort pour le moment en tout cas.
As tu vraiment besoin d'une explication à cela ? Je le sais voilà tous ou qui sais je tente de m'en convaincre pour te garder près de moi.
*dit il doucement amuser a l'oreille de la jeune femme relevant son menton pour embrasser avec envie ces lèvres approfondissant le baiser en la collant a lui sa main sous le draps caressant son corp alors que son autre main glissait sur sa sa joue avant de venir jouer sur son cou savourant le collier qui si trouvait ...une chose qui malgré lui l'excitait profondément de la savoir rien cas lui...en tous cas pour le moment...*
- Tant que tu ne me trahis pas je t'offrirai ce qui te manque ma petite cherie...tu t'es toi-même enfermer dans un piège dont tu ne pourras jamais sortir .
Lâcha t'il alors venant chercher encore d'avantage de plaisir et de désir dans ces baisers sa main sous le draps glissant pour saisir ces fesses ferme comme pour agripper sa possession résistant a l'envie de s'emparer une nouvelle fois de son corp sans la moindre limite...
-Dit moi tes desir...tes envies ..tes fantasmes et je les ferai miens...ainsi je te prouverai simplement pourquoi je suis sur que ce cœur qui est brisé sera finalement mien...car je serai le seul à le ramasser.
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