| Née en 1986 en Russie à Kirov exactement, de parents à la tête d’une grosse firme, ma naissance n’était pas vraiment prévue, ma famille trop occupée dans leur entreprise me laissait à une nourrice à qui j’en faisais voir de toutes les couleurs, ils auraient préféré un garçon pour reprendre la firme .
Peut on dire si ma vie est heureuse, peut-être bien que je voyais peu mes parents je ne manquais de rien, j’avais tout ce que je désirais comme une princesse ,même si mon père me regardait à peine,, je voyais peu ma famille, mes parents me voulaient irréprochable me contentant d’aller à l’école et de pratiquer les arts surtout la danse classique.
Heureusement que j’avais ma nourrice sinon je serais seule, j’avais des professeurs à ne plus en finir, j’excelle dans la danse, je passe le concours pour rentrer au prestigieux Bolchoï, le rêve d’une adolescente, je me vois déjà sur la scène danseuse étoile, oui un rêve que je commençais qui n’en rêvait pas ?
A mes dix-huit ans, je me sentais libre, je fréquentais du beau monde de la haute société de mes parents faisant mon éloge pout attirer les grosses têtes, j’avais déjà fait les beaux yeux à un jeune homme de la bonne société, j’avais l’impression que notre histoire allait être éternelle, 4 ans d’amour véritable avec ce jeune homme.
La famille m’arracha le cœur un soir, je rentrais une dispute éclatait, j’ai cru voir ma famille se déchirer sans même comprendre pourquoi, une histoire d’argent, de la firme certainement, le regard noir de mon père se posa sur moi, ma mère en pleure, je ne comprenais pas ce qui se passait.
On m’explique vaguement que je dois continuer mes arts à Ryolite une ville dont je ne connais même pas, laissant tout derrière moi à mes vingt deux ans, c’est un des gars de mon père qui m’accompagna jusque là, puis un autre gros bras ma repris pour m’amener à un certain O’Callahan ami de mon père visiblement qui devait s’occuper de moi. Ce n’était pas pour s’occuper de moi mais un arrangement d’un mariage forcé avec son fils pour associer les firmes, un coup de théâtre pour moi qui ne voulait pas me marier, on me dit aussi que je devrait faire un héritier sans trop tarder, je tombe de haut, je ne connaissais pas l’homme que je devrais épouser, en attendant j’étais enfermée dans cette boite, à être l’esclave de mon futur époux.
Je rêvais encore d’une vie de princesse, celle de Marya Khalski, ou le commencement d’une autre vie.
|