Une peur inexplicable pv Argos (terminé)

Je l’écoute et reste bouche bé, devant sa proposition, pas de patience voilà une marque qu’il pourrait ce faire, je ne sais toujours pas quoi répondre, dois je rester ou pas ? Je vois bien qu’il me désire mais ce n’est pas le moment, je ne suis pas en état, le répugnant, je ne suis pas du style à me rabaisser à supplier, il faut que je réfléchisse, une heure cela fait court alors que nous avons la semaine, je me relève me dirigeant vers la fenêtre regarder le parc, seule dans mes pensées, les bras croisés, je ressens sa présence comme une force qui m’attire, je suis plongée avec moi-même. Une heure cela passe vite et lentement à la fois, j’aurais bien aimé parler avec Mermaid pour savoir un peu, elle aurait pu me guider comme la première fois ou nous nous sommes rencontré hélas elle n’est pas là.
Je reste face à la fenêtre, ne disant pas un mot tic, tac l’heure tourne, j’entends presque l’horloge, il faut que je mette le doigt sur ce qu’il me menace, je dois me souvenir de tous ce que j’ai subis, les vibrantes douleurs de mon cœur qui est plein d’effroi, mon plaisir vaporeux qui fuit vers l’horizon, chaque seconde dévore un moment de délice, cet homme est un accord avec toutes les saisons. Trois milles six cent fois par heure, la seconde me chuchote rapidement, de me laisser aller, ma vie à toujours été trompé et encore plus avec sa trompe immonde.
Les minutes me sont motels, je ne dois pas lâcher, pourtant, je reste là a attendre, soupirant, sous les secondes qui passent, gagner sans tricher c’est la loi, le gouffre s’ouvre à mes pieds, j’y crois tomber, tantôt l’heure va sonner, il va être trop tard, je dois choisir et pourtant je ne fais pas de choix, tombant dans mon propre gouffre.











 

L’heure est passé et je n’avais pas fais de choix, les hommes étaient avec ce qu’il fallait pour faire cette marque, ou je la désirais, je ne savais pas moi-même dans le dos certainement, sur le bras ? Dans la nuque oui pourquoi pas, la nuque, cela fait discret, je dois faire un choix, pourtant je reste planté, là, ne pouvant prononcer un mot.
Dans la nuque.
J’ai choisis, mes mots dépassent ma passé, je prends sa main et vient m’asseoir prête, enfin non pas prête, je me relève un instant soupirant, je n’étais pas prête, pas encore, je fais les cents pas, les yeux vers le ciel avant de revenir m’asseoir, prenant sa main, comme une marque que je désire partagé avec lui la douleur, à venir, je le regarde non loin d’avoir un sourire, monstre je t’en veux mais à la fois, je me laisse guider par la passion.
Non aucun choix, je ne sais pas.
Pourtant je suis bien assise là a attendre, la nuque vers le bas prête à recevoir, j’ai le pour et le contre qui joue contre moi.












 

Serrant la main d’Argos, enfonçant mes ongles des cris de douleurs, j’avais envie de le bouffer, de la taper, je ne bouge pas, fatiguée presque de cette manœuvre, je ne suis pas bien, les yeux convulsés, plaquant le sol, je ne voyais que ça, je n’étais pas bien, mais la douleur s’estompe assez vite au final, j’étais marquée, c’était fait dans ma nuque, j’ose touché pour sentir chaque lettres, chaque passage sur ma nuque, j’étais la colère.
Je finis par levés les yeux de colère, d’avoir choisi, mais a la fois je sentais que je n’avais pas le choix, j’étais perturbée en moi-même, voulant lever la main sur lui mais il n’y était pour rien, je ne savais toujours pas quoi dire, je ne me sentais déshonorer ni même honorer, sentiment qui se mélange, alors que le matériel ce fut rangé, je restais là sans bouger.
Merci.
Simplement j’avais l’impression de vivre un cauchemar, je voulais être désobéissante et c’était fait, devant le grand patron je ne sais ce que je vais lui dire après tout je désire faire ce que je veux, j’ai connu les ténèbres que vais-je connaître maintenant ?













 

J’étais en colère après moi même d’avoir fait cela, je ne bouge pas de ma place, lâchant la main d’Argos qui j’entends quitte la chambre, je soupire et respire enfin. Je finis tant bien que mal à me lever, essayant de chercher un miroir pour regarder ce que je venais de faire, je grogne, je ne le voulais pas c’est trop tard de toute manière.
Je fouille dans l’armoire et je trouve des vêtements pile à ma taille comme-ci il avait tout prévu, je trouve une douche et je me prend une douche bien chaude, j’y reste un long moment à me laver, prendre soin de moi, repensant à ce qui venait de se passer, je commençais à être en manque de ma dose quotidienne, je ne sais si je pouvais la lui demander avait il de quoi ?
Je ressors de la douche et enfile une robe de soie rouge, me représentant désormais, moi qui aimait le noir cela me changeait, je suis en colère après lui sans vraiment lui en vouloir, durant son absence, j’en profite pour sortir de ma chambre, je vois deux portes en lettre d’or la mienne et certainement Mermaid, je vais frapper à sa porte mais personne ne répond.
Je fais le tour en découvrant le manoir, je me promène pied nue sur le sol frais, je rencontre du monde ou je fais un signe de tête et me dirige vers la grande porte de sortie, j’ouvre celle-ci prendre l’air frais, je vais me promener dans le parc un instant, vivant une certaine liberté, tournoyant sur moi-même profitant des premières fleurs de sorties, des jonquilles, j’en cueille quelques unes pour les mettre dans ma chambre.
Réentrant, je n’étais pas partie, après tout il avait payé, il ne faut pas que je l’oublie, je demande ou est Argos à la première personne venue, il m ‘indique une porte son bureau, je me dirige vers celle-ci, frappant avant d’entrée.
Je ne veux pas te déranger mais il me manque ma dose quotidienne, il me la faut, si non je vais craquer, j’ai fais un choix mais je t’en veux quelque part de l’avoir fait tout de même, même si le choix je l’avais mais je n’ai rien demandé enfin si, c’est si compliqué, tu n’es qu’un monstre d’humanité, pourquoi m’avoir fait cela ?
Je craque totalement sur ce qui venait de m’arriver, il n’était pas obliger de faire cela pour m’obtenir, pourquoi l’a-t-il tout de même fait ? Pourquoi ? Pourquoi moi ? Je fronce les sourcils.













 

Je n’ai pas osé fouiller il faut dire, je n’ai donc pas vue, tu me limite quand même tu es comme les autres, je sais me contrôler tout de même, je ne suis pas une gamine que l’on doit surveiller.
Pestais je alors qu’il était amuser de la situation pas moi, je viens prendre comme un animal apeuré la boite, je la garde près de moi comme un trésor, j’en aurais un peu plus avec celle dans la salle de bain, je finis par sourire un peu timide.
Des détails qui a son importance…rien de plus je crois je représente tout ce qu’il te faut, je fais partis de ton harem.
Dis je presque comme une vérité qui fait mal, loin de m’apitoyer sur moi-même, c’est une chance qu’il m’offre, je reste une nouvelle fois bouche bé devant ce qu’il vient de me dévoiler, je suis libre et je fais ce que je veux, vraiment ? Je n’y crois pas une seconde mais il ne m’a pas menti depuis le début.
Je vous en remercie pour cela, une liberté, tant rêvé, comment je pourrais vous remercier ?
Serrant ma boîte contre ma poitrine, je restais debout par habitude, il me manquait une chose mes armes, ma dague, je voulais une dague par habitude aussi d’être toujours armé pourrait il m’en fournir une ?
Il me manque ma dague, j’aime avoir une arme sur moi ,c’est plus fort que moi, tu en as une quelque part ou tu as pensé à prendre la mienne qui était rester au sol ? C’est important à mes yeux.