Un bol d'air. Pv Faune

J’étais  dans mes appartements, c’était une chambre assez simple, avec un lit baldaquin, une coiffeuse, et une armoire et une commode,  j’étais levé depuis un moment, et j’avais pris mon petit déjeuner et ma douche.

Quand la porte souffrit d’un coup, cela me fit sursauter, c’était la réponsable de la maison  Mermaid, qui n’avait même pas pris la peine de frapper au préalable, elle s’approcha de moi et me tendit des vêtements en m’indiquant que je devais aller s’habiller et qu’elle n’avait pas que sa à faire, le ton était assez sèche, cela n’était pas le moment pour moi de discuter, je devais obéir.

-Bien Madame.

Je répondis, et je pris les vêtements que Mermaid m’étendit et j’allai s’habiller dans la salle de bain, il y avait un chemisier blanc et une jupe courte noire qui m’arrivait aux genoux avec une paire de bas noire.

Je me dépêchai de les enfiler et retournai  dans la chambre où la  jeune femme m’attendait, elle me prit le poignet de façon assez brut et me mit un bracelet au tour de mon poignet, je ne comprenais pas ce qu’il m’arrivait, la responsable me tenait pas main et me sortit de la chambre, je n’avais pas le choix de la suivre, on se dirigeant vers la sortir, je ne comprenais toujours pas, mais je savais bien que j’allais avoir une explication.

Nous nous arrêtons quelques minutes car un des vigiles nous bloque le passage, Mermaid lui demande de nous laisser sortir, et que cela ne craint rien car elle m’a  mis au bracelet gps et que je ne risque pas de m’enfuir,  j’a quassia d’un signe de la tête, pour lui montre que je ne me sauverais pas.

Homme finit  par nous laisser passer, nous sortir dans le parc, la jeune femme ne me lâchait pas du regard,  elle me laissa marche devant elle, je sentais bien qu’elle ne me fessait pas encore confiance, de toute façon que pouvais je faire, j’avais se foutu  bracelet,  j’avais fichu je ne pourrais plus jamais sortir d’ici, et je ne rêverais plus jamais ma famille.  
Nous nous approchons d’un bac, et elle me demande de m’assoir,  j’a quassias à  nouveau d’un signe de la tête avec un.

-Bien madame.

Je sentais bien que je ne devais pas en dire plus, je n’arrivais pas à sourire, mon visage était grave,  je commençais à prendre conscience d’où j’étais et le fait de ne plus jamais revoir ma famille me rendais très triste.

Je m’assieds et j’attends.

Mermaid  reprit  la parole mais d’un ton doux, cette fois-ci, et commença à m’expliquer, que je devais profiter de cet  instant de prendre l’air car cela ne représentera plus pour le moment, et que si elle ma fait venir ici c’était pour me faire prendre conscience de la chance que j’avais être ici , et me montre au loin de femme qui faisait le mêmes travaille , mais qui elle devait dormir dehors,  c’est vrai que j’avais la chance d’avoir un toit sur ma tête , mais de là  à voir ma chance d’être enfermé  ici , je ne le voyais pas.

J’avais tant de questions à lui poser  mais je n’osais pas, je ne savais pas si j’avais le droit de lui poser  des questions ? Je devais essayer  et je verrai bien si elle y répond ou pas, d’une voix  timide je lui demandai.
   
-Pourquoi  m’a  ton emmener  ici ? Et je vais devoir rester ici toute ma vie ? Je ne rêverais plus jamais ma famille ?
 
Ces  questions tournaient en boucle dans ma tête,  j’espérais avoir enfin une réponse, et puis elle n’avait pas l’air d’être une mauvaise personne,  je pense que je n’ai rien à craindre avec elle.  

La jeune femme me regardait et  voyait  bien,  que j’ai beaucoup de questions à lui poser, mais les mots ne sortent  pas,  puis je ne sais pas si je le droit de lui poser ses questions et si je dois la tutoyer ou la vouvoyer ?  Tous s’embrouillent dans ma tête,  je pris mon courge à deux mains et lui pose les questions qui me brulaient  les lèvres, les mots sorte d’une petite voie fluette.
 
Mermaid  me sourit, et pose sa main sur ma jambe,  à ce moment la je ne la voie plus comme quelqu’un d’autoritaire, mais comme une femme douce  qui veut  me rassurer, bien que pour le moment cela  ne soit pas le cas.
 
Puis elle commence à répondre à mes questions, ce qui m’attriste énormément les larmes coule le long de mes joues, ce qu’elle me dit était très dure à entendre.

Je me doute bien que si on m’a enlevé c’est que l’on me demande pas mon avis, mais comment pouvait-il savoir que je suis vierge ? Je ne les connais pas, et pour un manque de bol c’est un énorme coup de mal chance que se soit moi qui ai été choisie, car des vierges dans cette ville  ou même dans cet état,  il doit y en avoir des centaines voire des milliers.

Ma colère montait, je trouvais sa tellement injuste, que cela tombe sur moi et par sur une autre fille,  car nous devions être des millions voir même des milliards, alors pourquoi moi ?

Puis la réponse temps attendue  tomba comme un couperet,  je devrais rester  ici toute ma vie et ne reverrais plus jamais mes parents, je devais tire un trait sur ma vie d’avant, et sur ma famille, cela me déchira le cœur, je me mis à pleurer à chaude larmes, je sanglotais, pour moi, ma vie était finie, je resterais enfermer ici, je ne pourrais plus jamais sortir et voir d’autres personnes.

Je suis condamnée à  reste enfermé ici ? Mais moi je ne veux pas reste enfermer ici toute ma vie, si je reste ici je vais mourir.

Je vis un air triste dans son regard, je me demandais si elle aussi avait  été arrache à sa famille comme on venait de me faire, avait telle été enlevé comme moi ou avait elle choisit de vivre cette vie-là ? Je ne pense pas que des femmes décident par elle-même de choisir de vivre ainsi, je décidais de lui poser la question pour en savoir plus.

Et toi Meraind tu as choisi de vivre ainsi où à tu aussi été enlever ?

Mes larmes continuaient de couler le long des joues, je n’arrivais pas à m’arrête, puis une  nouvelle information me tomba dessus comme la foudre, j’étais promise à un client, qui sintérisais à ma virginité,  je serais à lui, et  je devais prendre soin de lui, car il n’était pas n’importe qui, cela devait être un homme très influent et très riche, et j’appris par la jeune femme qu’il était aussi son amant.

Donc en gros on me vent à un homme ? Et  je n’ai pas le choix que d’accepte ? Je suis vendu comme de La viande, et  je dois faire tout ce qui me demande, mais je n’ai jamais couché avec un homme, et je ne sais pas si je serais faire ce qu’il faut.

Tout ce que je venais d’entendre me choquait à  un plus haut point, cela me donna la nauser, de savoir que j’étais devenue une esclave,  je du me lever et faire quelque pas pour atteindre un bosquet pour pouvoir  vomir , tous se que j’avais entendus étaient de trop,  une fois fini je m’essuyai la bouche, et  me rassis à côté de Mermaid, car je voyais bien qu’un des molosses du partons-nous surveillais,  il ne valait pas que je fasse de vague, je me sentais mieux , et puis de toute façon je n’avais pas le choix je devais obéir sans broncher sinon, je serais enfermé dans une chambre et n’en sortirais plus, je me dis que le fait être à un homme était peut-être mieux qu’en voit défilé une dizaine voit une vingtaine par jour.

-Pour ce qui est du faite que ce soit ton amant, je ne dirais rien, t’inquiète pas,  je ne veux pas m’attirent de problèmes.

Puis âpres tous si cet homme était son amant cela ne regardaient quelle personne n’avait en s’en mêle, mais je comprenais mieux la punition que le patron lui avait infligée l’autre jour, cela devait être pour ça, le patron n’avait pas dû apprécier que sa favorite ne couche avec un autre homme, mais il avait largement  dépassé les bornes en lui infligent tout ça devant toutes les filles, il aurait pu le faire en priver, ce jour-là  j’avais eu de la peine pour elle.  

Mermaid  répondait  à  mes questions.

Je le sais bien, mais cela est dur pour moi, de savoir que je ne verrais plus jamais ma famille.

Je continuais de pleurer, je n’arrivais plus à m’arrêter, mais je devais me faire à cette idée que cela était tomber sur moi et que je ne pourrais rien faire contre cela, et que ni mais pleure et ni ma colère me sortirait de là.
La jeune femme me confirma que je devrais vivre ici toute ma vie, et que j’aurais plus de droits,  si je ne vessais pas de vague,  je pourrais peu être sortir,  et voir du monde.

Je sentais que quelque chose n’allait pas, Mermaid  n’avait pas l’aire d’aller bien cela se voyait à son visage,  était-telle malade, où serait dû à sa punition qu’elle avait eue  quelques  jours  auparavant en tout  cas je voyais que cela n’allait pas.

Tu n’as pas l’air bien ?  Quelque que chose ne va pas ? Tu veux qu’on rentre ? Car si tu n’es pas bien il faudrait que tu ailles te repose et  t’allonger.

Cela m’inquiétait de là voire comme cela n’était pas dans son habitude, d’ordinaire  elle était  enjouée, mais là  elle paraissait triste pas bien du tout.

La jeune femme répondit à ma question qui était plutôt personnelle, j’avais un peux abuser à lui poser cette question car cela ne me regardait pas, mais elle y avait rependu,  mais si cette question devait un peut  la gêne, la jeune femme a été franche , je me doutais bien qu’elle et Brad avait une histoire tous les deux, d’ailleurs je pense que tout  le monde le savait mais personne n’en parlais, car déjà cela ne nous regardait pas, et puis de peur d’avoir des problèmes avec le parton, ce qui ne valait mieux pas si on ne voulait pas se faire punir et être mise dans une des chambres du bout du couloire , les chambres dites pourries.

Je vois et me doute bien que toi aussi tu n’aies pas décidé d’être là de ton plein gré, qui le serait ? En tout cas ni toi ni moi, et je me doutais bien qu’il y avait quelque chose entre toi et Brad, mais sa je n’en parle à personne.

Puis elle me demanda d’arête de pleurer, et de suivre son conseiller si je ne voulais pas avoir de problème, me m’essuya  les yeux et arrêta de pleurer.

Oui c’est sure que pleurer ne changera rien de toute façon, cela n’arrangera pas la situation, et ne me fera pas quitte cet  endroit,  je dois m’y faire et devenir raisonnable,  si tu las choisis c’est qu’il ne doit pas être un homme mauvais ? Sinon tu ne l’aurais pas choisie, et puis t’en vouloir ne changerais rien de toute façon ce qui est fait et fait j’espère juste qu’il sera  être doux avec moi,  et oui qu’il me guidera, car cela ma première fois, j’espère ne pas le décevoir, vu ma mon expérience dans ce domaine.

Faune prit conscience des enjeux,  et du fait que si elle satisfaisait cet homme elle aurait plus de liberté, donc elle devait tout faire pour ne pas décevoir cet homme, comme Mermaid et son patron, si n’ont elle pouvait dire adieux à ses libertés et ne sortirait jamais de cet endroit.

Des problèmes ?  Pourquoi  aurais-tu des problèmes ? C’est du fait qu’on soit sortie ?  Si tu veux je peux leur expliquer ? Que tu avais besoin de me parler et que comme tu ne te sentais pas bien nous sommes sortie quelques minutes, cela ne serait pas juste que tu es des problèmes pour nous deux.

Je ne pouvais désarment pas laisse Mermaid  prendre pour nous deux, surtouts dans son état cela se voyait bien qu’elle n’était pas bien, et puis de toute Facon avec le gps qu’elle m’avait posé quelque temps plus tôt aux poignées je ne pouvais pas aller bien loin, et nous étions surveiller , par un des vigiles .

Mermaid se lève pour marcher un peux je sens bien que cela empire.

On devrait peu être rentrée, tu ne crois pas ? Cela serait plus raisonnable, et  pour ce qui est de notre petite sortie, on la verra une prochaine fois, si on me repermet de sortir.
 
Quand le vigile vient  vers elle et lui demande si ça va ?

ça  se voit bien que cela ne va pas

Je réponds en haussant les épaules et d’un ton sec,  ils ont  beau avoir des muscles, mais ils n’ont  rien dans la tête ses gags là.  

La jeune femme lui répond qu’il faut prévenir Brad, mais cette imbécile de vigile au lieu d’aller le chercher passe un coup de téléphone, je suis inquiète pour elle j’espère que ce n‘est qu’une passade,  et que tous va aller mieux pour elle.
 

Merci, oui je le sais bien

Je remerciai Mermaid pour le mouchoir quelle m’avais passé pour essuyer mes larmes,  je le passai sur ms yeux, je savais bien que je devais me faire à cette idée, que maintenant  je resterais  ici toute ma vie, de toute façon, je n’avais pas le choix.

Je la vis se lever pour aller plus loin pour aller vomir, elle n’était vraiment pas bien, j’avais bien une idée sur  la raison pour là qu’elle, elle était malade, on en avait parlé en cours de médecine ,je ne voulais pas l’alarmer et ce n’était pas à moi de lui dire, son médecin lui ferait des examens pour le confirmer,  et pourrait lui dire de vive voix.

Ne t’inquiète pas,  ça va aller, cela ne doit pas être grave, crois-moi, fait moi confiance.

Je lui fis un grand sourire pour la rassurer, et espérais pour elle, que cela allait passer assez vite.

Oui je comprends tout à fait que tu sois furieuse,  il pourrait au moins te laisser un message, au lieu de te laisser comme ça, et sans te donner de ses nouvelles depuis plusieurs jours sa ne se fait pas.

La pauvre déjà qu’elle était malade mais en plus le patron qui ne lui donnait plus de nouvelle pfff,  je te jure, il y a de quoi être furieuse, je crois que je le serais tout autant qu’elle, et que pouvait-elle trouve à ce type, sachant qu’il  traitait les femmes comme du bétail, il les enlevait pour les vendre à ses clients, cet homme est mal honnête, je lui en veux encore énormément  pour ce qu’il m’avait fait, et  je ne pourrais jamais lui pardonner.

Je fus choqué par la réponse qu’elle venait de me donne, comment son  propre père avait-il pu lui faire sa ?  
   
Ton propre père ? Ta donner à ce m….

J’arrêtai ma phrase, car je ne pouvais pas lu dire ça, déjà qu’elle n’allait pas bien, mais en plus elle aimait, donc je ne pouvais le traiter de monstre devant elle,  je ne voulais pas aggraver les choses,  et je ne voulais pas non plus me disputer avec  elle, déjà qu’elle commençait à se confier à moi et à me faire un petit peu confiance, je ne voulais pas tous gâche.

Lui faire un héritier et te marier ?  Donc tout a été planifier dans les moindres  détaille à ce que je vois, lui non plus n’a pas eu le choix ? Je vois, cela ne doit pas être drôle pour toi.

J’avais pris sur moi et  avais arrêté de pleurer, de toute façon, cela ne servait à rien, et n’arrangerait rien à ma situation.

Oui,  je ne voudrais pas que la arrivent ses oreilles, je ne veux pas être punie pour ça,  je ferrais tout ce que je peux pour ne pas faire de vagues, et me faire la plus discrète que possible et faire mon boulot convenablement.  Drôle de critère, je voie et souhaite qu’il  le soit aussi avec  moi,  j’espère que je n’ai  rien à craindre de lui.
 
Je lui fis un sourire, ma peine c’était un peux estomper, mais j’avais toujours une certaine crainte, car cela allait être ma première  fois, et je ne connaissais pas cet homme, et  je ne savais pas ce qu’il allait me demander où me faire faire.  

Il  faut souhaiter que cela lui passe, mais il a l’air d’être un homme assez strict donc j’espère  qu’il te pardonnera. Oui je le sais bien, moi non plus je ne compte pas m’enfuir d’ici de toute façon on ne le peut pas,  surtouts s’il en va de ta famille, il faut mieux faire ce qu’il te demande.

Cela me fessait vraiment de la peine de la voir comme ça, elle était si triste, il fallait espérer  que cela allait s’arranger entre eut  deux, surtout dans son état, cela n’arrangeait rien.

Non je ne souhaite pas rentrer mais comme je voie que tu n’es pas bien,  je pensais que tu préférais rentrée pour te reposer, profitons en  alors, car je ne  sais pas dans combien de temps j’aurais à nouveau le droit de ressortir.

Je lui fis à nouveau un sourire, pour lui montrée que cela allait mieux.