Jouons carte sur table (PV Amazone) (terminé)

Ce jour là j’avais reçu une invitation du grand patron, c’est une certaine boule au ventre que je prépare un jolie corset, une jupe et des bas noirs, j’aime le noir c’est comme cela que je m’habille souvent, je ne sais ce qu’il me veut mais la dernière fois ce n’était pas d’une super humeur qu’il était, j’ai faillis avoir la langue tranché à trop parlé, parfois je devrais la garder dans ma poche, ce que je compte faire aujourd’hui ne pas trop parlé.
C’est dans on bureau debout que je l’attends, j’avais déposer ma dague à l’entrée comme d’habitude, je lui servais aussi de garde du corps rapproché s’il y avait besoin, j’étais toujours armé sauf avec lui, je n’oserais jamais lever la main sur mon patron, je l’aime trop pour cela, bien que ma vie ne soit pas facile je lui dois tout, je ne lui en veux pas d’être ici même si parfois j’ai de la colère de devoir avoir affaire à d’autres clients que lui.
Bonjour patron, je vais bien et vous-même ? Toujours aussi gentleman.
Alors qu’il me fait un baise main, je rougis quelque peu, je viens m’installer sur le fauteuil qu’il me présentais, prenant le verre de scotch le remerciant de la tête, trempant mes lèvres dans le liquide doré.
On ne refuse pas une invitation de votre part, je suis honoré toujours d’être là.
Répondis je calmement, avec un sourire. Continuant à boire mon verre, l’écoutant pour la suite de sa question.
Que nous sommes tous des démons à votre solde, lié par notre âme, celle-ci vous appartiens, nous avons tous des dons, que nous pouvons utiliser, vous en êtes le patron de tout cela après je ne sais comment vous faites, je ressens juste un immense pouvoir en vous.
Répondis je simplement, je ne savais pas plus sur mon patron juste sur les autres et c’est tout mais déjà bien, le mien déjà que j’apprécie particulièrement tant que l’on me confisque pas mes armes.









 

Il s’assied proche de moi, je ne peux m’empêcher de le regarder, je l’aime comme il est, je suis tout à lui et il le sait, sa question me turlupine pourquoi savoir ce que je sais sur le surnaturel j’en fais partie ainsi que les autres, filles et gars, Je me demande bien ou il désire en venir après tout.
Oui bien sûr tout ce qui se passe ici est passé sous secret, je ne dévoilerais rien, je vous le garantie.
Je n’avais pas envie de perdre ma vie ou ma langue mais vue comment il me dit ça cela doit être très important, j’avale doucement mon verre, par petite gorgée me demandant ce qui va me tomber dessus à un moment ou un autre.
Certainement dû à nos dons ? Je suppose, comme moi qui aime les armes descendances d’une lignée d’amazone, j’aime mon nom d’ailleurs et je ne changerais pas.
C’était une supposition mais le peu que j’aperçu des filles et des gars qui nous entourent ce qui me vient à l’idée à première vue, lui offrant mon plus beau sourire, n’osant le regarder dans les yeux.










 

J’essaye de répondre au mieux de mes connaissances, je savais que nous avions tous quelque choses ici, que nous nous en servons parfois, nos dons, cela est bien utile mais je ne fais pas mouche, ayant un gloups de mettre trompé, visiblement il ne m’en tient pas rigueur.
Oh, je savais que j’avais une descendance d’Amazone mais je ne pensais pas que…donc cela veut dire que…enfin, Faune, Mermaid et tout le reste porte bien leurs noms, je ne savais pas vraiment.
Je me demandais ou il voulait en venir le regardant aller chercher un livre la bible, je regarde le texte, je ne comprends pas tout, je l’écoute attentivement tout en lisant ce qu’il y avait d’écrit, je commence à mieux comprendre, mais suis-je vraiment en face de lui, je le regarde plusieurs fois, en secouant la tête.
Non…oui…enfin…c’est vrai ? Question stupide, je suis surprise, c’est un grand secret que vous me dévoiler là, pourquoi le faire, pourquoi maintenant ? Je comprends mieux pourquoi je ne peux vous résister, pourquoi près de vous mon âme se sent moins torturé, vous êtes notre chef à tous ici, mais j’ai du mal à y croire, je sais que vous ne me mentez pas mais…enfin ce n’est pas croyable.
En regardant l’illustration sur le livre et continuant à lire son histoire et les milles tourments, je le regarde toujours intriguée par cette révélation, que je dois tenir maintenant, moi qui avait décidé de les trahir pour sortir d’ici je me retrouve bien coincé c’est la mort qui risque de m’attendre, je suis choquée par cette révélation, je ne sais quoi dire.











 

J’ai du mal à croire ce que j’entends, je lui rend son sourire mais j’ai toujours du mal à comprendre dans les sens, tous les termes, nous étions endormis, oui peut être, nous ne pouvons nous rendre compte jusqu'à ce qu’il vienne sur terre, il doit avoir raison je bois ces paroles, avec un sourire.
Je comprends, mais c’est un lourd fardeau et un lourd secret que vous avez là, je ne sais quoi dire, je vous remercie de me le confier, je ne pensais du tout à ces histoires, c’était des comptes de mon enfance, je ne pensais pas que tout cela était réel mais maintenant que vous le dites.
Je prends sa main fraîche entre les miennes, la regardant, le regardant à son tour, d’un air presque triste de ce qu’il m’annonce.
Un cancer mais non, pas vous, je ne veux pas que vous nous quittiez il faut faire quelque chose, changer de corps vous le pouvez ? Vous avez besoin de moi pour cela ?
Hormis choisir un homme qui me plaît mais il me plaît tout aussi bien comme ça, je ne lui en veux pas de vieillir ainsi va la vie mais s’il peut survivre, je ne suis pas contre.
Cela serait un honneur de venir choisir avec vous, je vous trouverais toujours à mon gout, je vous aime comme vous êtes, peu importe l’âge, vous me plaisez, sachez le. Mais si vous pouvez vivre plus longtemps alors je suis partante, pour vous.
Répondis je avec un sourire, j’ai bien compris que le temps pressait il ne fallait pas tarder, me levant lui prenant la main.
Allons y dans ce cas, il ne faut pas attendre, je ne désire pas vous perdre du jour au lendemain, je vous accompagne.
Prête déjà à partir, pour ce nouveau corps, je ne voulais pas perdre mon patron, prenant ma dague sur moi, je le protégerais même s’il a des gardes du corps nous ne sommes jamais trop prudent.












 

J’allais partir de suite sauvé mon patron de cette mauvaise passe, avant qu’il ne me retienne, toujours intriguée, je me demandais pourquoi pourtant c’était pressé, je ne comprends pas.
Oui patron ?
Répondis je intriguée, surprise qu’il me stop ainsi, je voulais faire au plus vite que l’on y aille, c’était pressé, je ne voulais pas le perdre, non pas lui, pas maintenant, jamais. Je le regarde faire le tour du bureau et me montrer trois photos, je m’approche de celles-ci, je les regarde attentivement.
Lui.
Montrais je du doigt sans vraiment hésiter, celui de gauche, j’étais sur et certaine sans aucun doute, sa vie allait changer à celui là avec un sourire machiavélique, j’aimais presque ça.
Quels détails si je puis me permettre ?
J’interrogeais par curiosité, je voulais tout savoir tant qu’a faire mais allait il tout me dire, je ne me mêlais pas des histoires de famille, cela était sûr mais peut être que là le patron voulait il en parler, je l’écoute donc attentivement, s’il voulait dire quoique ce soit.