Utilisation des services en chambre (terminé)

J’étais avec les autres filles avant d’aller chercher ma dose comme d’habitude, je prenais ma clope, tranquillement à discuter avec elles, le grand patron était en ce moment absent et je devais malgré tout apporter de l’argent comme toutes les autres, mais mes yeux vairons faisaient peur généralement les clients n’osaient me regarder dans les yeux.
J’avais souvent avec moi une arme pour me défendre une petite dague,  bien aiguiser si jamais je me faisais attaquée, j’étais tout de même la favorite du grand patron et je pouvais lui servir de garde du corps très proche, je le craignais comme toutes ici surtout que plusieurs fois il a faillit me couper la langue.
Un des gars vient me voir étonnement, un client me demande c’est bien rare, il a dû me voir en passant me fichant royalement de ceux qui passaient tant que j’avais ma dose, tout ce qui comptais pour moi, bien que ma tendance à me déplacer se faisait très charmeur, je n’en usait pas auprès des clients, j’en avais un à contenté cela me suffisait amplement.
J’avais toujours Marya en vue pour prendre sa place, mais je pense que Brad ne me voit comme la putain de son père, rien de plus pourtant sa place était bien placé mais jamais je ne l’aurais vue notre altercation la dernière fois, cela ne m’empêche pas d’avoir un œil sur elle, je sens que le vent tourne depuis qu’elle voit son amant qui se fait très discret mais nous le savions toutes, surtout depuis la mise en place de son collier qui n’était pas du gout de tous.
Bref je me lève pour aller direction de la chambre du client, armée de ma dague je ne sais jamais à qui j’ai affaire, je suis douée dans les armes et cela personne ne pourra me le retirer, j’écrase ma clope avant de frapper et d’entendre un entrée assez froid.
Je rentre bien surprise du client, je ne pouvais que le connaître la main sur ma dague, je me méfie déjà, il me regarde de la tête au pied, je le fixe également, ma respiration profonde, je ne compte pas faire quoique que ce soit avec l’amant de la grande dame de ce bordel.
J’approche à petit pas, je ne sais ce qu’il me veut, il désire que l’on s’amuse ce qui n’est pas de mon goût du tout, je reste pour un temps silencieuse, je ne désire pas qu’il me touche que dirais Marya ?
Allons droit au but que me veux-tu ? Je sais qui tu es, tu ne penses pas plutôt à Marya que de me faire venir ici, on risque gros avec mon patron, je ne pensais pas te voir.
J’étais direct toujours la main sur ma dague s’il m’approchait, il y aura du sang qui va couler, je ne suis pas de celle qui ce laisse faire.

 

[b] Je suis toujours sur la défensive et encore plus avec toi, tu as payé certes mais je n’ai aucune obligation, je ne te désire pas, et je ne te désirerais jamais, je pense que tu devrais retourner avec elle que de t’occuper de moi, ne penses tu pas ? Je suis toujours armés on ne sait jamais qui on rencontre ici. A moins de gouter à ma dague il vaut mieux faire demi -tour.
Je n’avais pas peur de lui comme les autres, je ne voyais pas pourquoi je le devrais ? Après c’était un homme comme les autres ou presque, je sens un pouvoir émaner de lui, je ne sais à qui j’ai affaire mais pas un être normal cela est sur. Je me méfie d’autant plus de lui que des autres, je le regarde en fronçant les sourcils. Je ressens une douce chaleur entre mes jambes, ce qui me fais monter des pulsions me laissant échapper des petits gémissements, je me demande ce qui m’arrive hors je n’ai pas envie.
[b]Certes un client dont je n’ai guère envie, je ne te désire pas, tu vas vraiment gouter à ma dague si tu continues, je résisterais à toi, je ne prends pas les clients des autres, Marya fait ce qu’elle veut et tant mieux pour moi je dirais dans un sens.
Dis je avec difficulté alors que mon intimité ce fait de plus en plus chaud, j’arrive à résister à ce pouvoir pour le moment, je l’écoute me dire c’est fantaisie, il fait ce qu’il veut avec elle à vrai dire je m’en fou royalement pour moi cela me fait une voie ouverte.
[b]Il est vrai tu n’as jamais défié une règle de cet établissement, je ne suis pas comme les autres et je ne me laisserais pas faire soit en sur, comment sais tu que je désire prendre la place de Marya ? J’en ai jamais parler à personne, même si cela est la vérité mais Brad ne me prend que pour ce que je suis une de ces putains rien de plus.
Dis je simplement alors que je lutte contre moi-même avec cette envie qui me monte de plus en plus en moi, je mordille mes lèvres mais je ne m’approche pas plus de lui craignant de devoir me servir de ma dague, je ne prends pas les clients des autres et surtout pas de Marya.
[b] Rembourse et part de cette chambre ange déchu, tu n’as rien a faire ici ou tu vas gouter à ma dague
Dis je froidement


 

Et je ne ferais rien avec toi, je t’assure je suis la plus dangereuse de toute, méfie toi de moi que qui des filles ici, arrête ton petit jeu avec moi, cela ne prendra pas, je t’assure, arrête et sors d’i…
Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase alors qu’il m’attrape d’un coup sans aucune peur de ma dague pourtant je pourrais le tuer mais il désire jouer mais on va jouer avec mon jeu et pas le sien de toute façon dans un sens il a raison, il a payé pour et je ne peux me refuser à un client mais peu importante de la façon de faire après tout.
Je ne suis pas à prendre ni à désirer, mais puisque tu veux jouer, jouons.
Je viens m’installer sur ces genoux, la lame sous son cou, je fais une petite tranché et lèche son sang, j’aime ça jouer avec le sang, je suis une folle et peut être la plus folle de toute, j’aime jouer, j’aime prendre le dessus et cela il faudra qu’il se fasse, peu importe les ordres qu’il me donne, je m’en contre fiche, j’ai juste cette envie qui me gagne peu à peu, il me demande de l’embrasser, chose que je fais en mordant fortement ces lèvres.
Ce petit jeu t’amuse toujours ?
En reprenant une goutte de sang perlé le long de son cou, laissant ma dague ou elle ai il fait un geste je le trucide surplace, j’en ai que faire de Marya après tout, elle avait qu’a être là au bon moment, pour le moment c’est moi qui m’amuse et pas sur que cela plaise à Argos pourvu qu’il quitte la chambre tout ce que je souhaite.



 

A lécher le sang, une pulsion me traverse encore plus, il était empli d’amour, de sexe, une drogue comme je n’avais jamais gouter, continuant ma perversion de lui faire mal et gouter son sang encore et encore, mordant ces lèvres puis les miennes une goute perle de me lèvres, je la lèche en passant ma langue dessus, cette chaleur m’empli de plus en plus, oui une drogue bien cela, moi qui n’avait pas envie de lui, cela devient le contraire mes pulsions devienne de plus en plus forte ainsi que de lui faire de plus en plus mal, un double jeu bien malsain qui se trame entre nous.
Très bien, je vais continuer dans ce cas.
La tête penché un sourire malsain, un déchirement en moi qui ne fait que se cumuler et craquer mon corps, qui ne reste qu’inerte alors que l’intérieur bouillonne déjà, je pouvais sentir son désir mais aussi son regard sur mes frêles vêtements, juste un corset, une jupe des bas me protège encore de ces mains.
Je ne gêne pas lui arracher son vêtement du haut, me laissant pleinement accès à son torse, venant chercher ces lèvres toujours en les mordant, je fais glisser ma lame, encore la froideur de la lame sur sa peau toute fraîche, je fais des entailles ici et là venant encore lécher les sang, tout en remontant vers lui, le regardant droit dans les yeux, toujours mon sourire machiavélique, je l’embrasse en pleine bouche, me collant encore plus à lui, en fonçant un peu plus mal lame en lui après tout il va guérir plus vite qu’un humain mais j’aime ça, torturer faire mal, j’aime les hommes ainsi qui peuvent endurer quand on me demande, ils se font rare, seul à mon patron je n’ai pas le droit de la faire, je me défoule donc sur mes clients et Argos n‘y échappe pas.
J’en fais parti mon cher, là est mon don, ma passion.
Dis je en rigolant.




 

Laissons les petits à leurs jeux et continuons le notre si malsains, je joue tu subis c’est ainsi sont mes règles, il n‘y va pas autrement avec moi, j’espère que je suis claire.
Attrapant son menton, j’étais très clair, avant d’avoir un cri de déchirement, à sa morsure sur mon épaule, je me retrouve sans ma jupe, je le claque, ce sont mes règles pas les siennes je me déshabille quand je le désire pas à lui de le faire.
Nous ne sommes pas compris je fais, tu subis, pas autrement, on ne me déshabille sans mon consentement, il faudra apprendre les règles avant que je ne me fâche pour de bon.
Je n’étais pas dominante mais j’aimais guider les actes, plus je léchais le sang plus, j’étais emplis de désire, plus il me mordait plus je bouillonnais, je le mordais de plus en plus, laissant mes traces de dents, morsure à sang, j’en avais besoin comme une drogue émanant de lui, j’étais très humide pourtant je n’avais aucune envie, la résistance ce fait difficile.
Je suis un délice, mon sang on le dit sucré.
Répondis je avec un rire, j’aime le regarder émouvoir avec mon regard, mon corps commence à agir, agitant mon bassin sur lui, charmeuse je peux l’être aussi mais je n’avais pas envie avec lui, il ne méritait pas cela, bien au contraire, je voulais qu’il fuit la chambre mais plus j’essayais plus il restait.
Je ne sais ce qu’il cherchait avec moi mais il ne le gagnera pas comme ça, jouant encore et encore avec ma lame, il ne me repousse pas, elle devient chaude, léchant celle-ci et recommençant mon jeu, toujours bloqué sur ces lèvres que je fais perler le sang, coller à lui de plus en plus, que je commence à donner mon corps.