Après je ne sais combien de jour de torture, je ne suis pas bien, j’ai mal et je suis triste, d’ailleurs ma fille le ressent, je reste cloitrée dans ma chambre je ne désire pas en sortir, ni voir personne, les gardes sont toujours à ma porte, je ne me sens pas libre comme promis, bien au contraire. Je prends soin de ma fille et je regrette ce que j’ai fais en pensant à Argos mais je n’avais pas le choix ou je ne reverrais plus ma fille, il faudrait que je lui dise que je reste honnête avec lui, je ne désire pas lui mentir sur quoique ce soit. Je n’avais toujours pas retrouvé ma voix, pourtant on pouvait entendre mes triste mélodies chanter à Elena, je pleure dans ces petits bras, elle grandie si vite, je ne vois pas le temps passé, je ne suis juste pas bien à être enfermée là, je suis prête à mourir s’il le faut, je ne peux plus de cette situation de rester enfermer dans ma chambre, je désire partir. Mon chant s’élève de plus en plus avec ma tristesse grandissante, j’aime mes filles, j’aime Argos, je n’ai plus de nouvelle de Brad que je déteste au plus haut point, je veux qu’Argos vienne à moi mais c’est impossible je le sais, je continue de pleurer chaque jours qui passent, seule. L’abandon est très dur à vivre, seule ma fille est là pour moi, elle me réconforte, sa voix d’ange me dit de ne pas laisser tomber, de me reprendre en main, de vivre pourtant je ne vois que la mort qui me tiraille, je la sent venir à moi comme une gan graine qui me ronge de l’intérieur.
Cela fait plusieurs jours que je suis dans ma chambre, je n’ose pas sortir, je ne mange presque pas, je suis à maigri, mais cette nuit là, je décide de voir la porte de derrière, je sors, il y avait des gardes qui me repousse violemment, je fais marche arrière je suis coincée ici, je pleure de nouveau en priant que l’on me sorte de là. Je retourne me coucher dans ma chambre près de ma fille qui dort à point, je passe une nuit cauchemardesque, que je ne tiens pas parole à Argos, que je vais voir d’autres clients, ce qui me rend encore plus triste à mon réveil. Je décide de sortir de ma chambre, je croise des filles, je leur fais un sourire forcé, je ne sais plus quoi leur dire, je suis dans mon monde, j’entends ma,ma dérrière moi c’était ma petite qui était debout, je la prends dans mes bras et la serre contre moi, elle marche et commence à balbutier déjà, ça grandie trop vite. Je me rends à une des fenêtre pour respirer l’air frais du matin, entendre les oiseaux déjà gazouillés, je parle à ma fille lui expliquant les oiseaux, les maisons, les arbres, ce qu’elle pouvait voir de la fenêtre, je décide ensuite d’aller m’installer dans un coin du petit salon tranquille avec elle et lui lire un livre mais ma tristesse reprend le dessus et je décide de chanter. Certaines filles viennent me voir, je n’avais plus ma voix mais je chantais plutôt pas mal, adorée la petite souris et gazouille, je lui souris à mon tour continuant à la bercer et jouer avec elle, je demande aux gardes de s’écarté un peu me laisser de l’air, je ne vais pas m’enfuir, je respire enfin que d’être toujours entourée, je suis au plus mal…Argos vient me chercher je t’en pris.
Après la rencontre avec la détective, j’avais repris des forces mais je restais amaigri par la faim, je n’étais pas si bien que ça, j’étais profondément triste et touchée par ce qui arrivait et je ne pouvais pas voir Argos, je me demande comment va ma fille. J’en ai assez d’attendre, je décide de demander à une fille de me couvrir pour que je parte, j’embrasse ma fille, je sais que je ne vais pas la revoir d’aussitôt, je pleure, mais je n’ai pas le choix. Grace aux filles j’ai pu sortir et partir du Beautiful nu pied, je cours à tout allure, je sais que je suis poursuivie mais jusqu’au manoir, ou je suis en sécurité mais je serais prisonnière d’ici, je ne donne pas cher de ma peau cette fois, j’ai désobéis à Brad mais je ne pouvais plus. J’étais fatiguée et affamée, je rentre au manoir et cri de toute mes forces Argos, je réveille toute la maisonnée mais ce n’ai pas grave jusqu'à ce que je vois ma fille, avec un grand sourire.
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Sujet: Une grande tristesse 
Lun 2 Mar - 5:14
